Hello,
Alors voilà , en tant que power user mac et parce que j’avais des besoins spécifiques, j’ai cherché une solution simple, rapide, efficace d’utiliser docker et toute les possibilités que l’outil offre en local sur ma machine.
La réponse ? https://kitematic.com/
Simple, parce qu’il n’y a qu’un « installer », rapide parce qu’il fait tout pendant l’init et efficace car une fois lancé vous avez genre 3 boutons qui se courent après, un moteur de recherche d’images docker et roulez jeunesse…
1 – Installation de kitematic
Rien de plus simple, on download, on clique, on y est :
En gros maintenant il ne reste plus qu’à faire son shopping 🙂
A droite la liste des images que les contributeurs (et la source officielle docker) publient pour vous 🙂
Kitematic se charge de télécharger les images que vous ne possédez pas en local (ou de les mettre à jour si besoin) et de les lancer en cliquant sur le bouton « create ». Rien de plus simple 🙂
La fenêtre principale vous affiche les logs de vos docklets en temps réel.
Vous disposez également de la « web preview » pour ne pas avoir à ouvrir le navigateur si vous décidez de jeter simplement un oeil à votre docklet.
En dessous, la liste des volumes liés… Pratique 🙂
Personnellement, dans les options, j’ai coché la case « Shut down linux VM on Closing Kitematic », wait what ?
2- Petit tuning de la bête
Comme je l’ai dit plus haut, je demande à Kitematic de fermer la VM quand je le quitte. Qu’est-ce que ça veut dire ? Que Kitematic s’appuie sur VirtualBox pour fonctionner, schématiquement il créée une VM avec celui-ci et s’en sert de support pour lancer les docklets. Le fait de le fermer quand je quitte kitematic m’évite de laisser tourner la VM en fond et de manger toutes les ressources du mac 🙂
Comme kitematic est une simple interface pour docker et VirtualBox, eh bien ça ne me pose pas de soucis de le garder comme « témoin » du fait que je travaille avec tout ce petit monde 🙂
Sachez également que kitematic étant une « simple » interface pour docker, cela veut dire que vous pouvez également « jouer » avec docker via votre terminal 🙂
Petit tuning je disais… personnellement encore, j’ai changé les paramètres de la VM qu’utilise docker pour travailler, ceci afin de ne pas lui laisser trop de ressources (qui appartiennent à mon mac) de dispo :
Notez que la VM s’appelle « dev » par défaut.
Ensuite, on se balade dans les configurations de celle-ci et on « module » la mémoire allouée pour la partie « Carte mère » , et « CPU », comme dans mes screens plus bas :
Petite validation et le tour est joué !
Notez que vous ne pouvez pas modifier la configuration si un de vos docklets tourne en même temps, il faudra bien fermer celui-ci (ou ceux-ci si vous êtes déjà en train de vous amuser avec plusieurs images).
3- C’est quoi la suite ?
Eh bien maintenant vous connaissez l’outil 🙂 Je pense décliner quelques tutos sur l’utilisation de docker elle-même par la suite, donc n’hésitez pas à venir checker le blog régulièrement !